Ludwig Von Oben
Date d'inscription : 06/05/2010 Avatar : Jude Law Parti : Nazi
| Sujet: Ludwig Von Oben Sam 8 Mai - 16:24 | |
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Ludwig Von Oben Feat. Jude Law - By. Barda
Âge : 32 Date & Lieu de naissance : 26/03/1908 à Berlin Groupe : Nazis (Sanguinaires) Profession : SS-Oberführer (Colonel SS) Religion : Prédéfini : [] Oui - [x] Non
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| About Me
Physique & Style : Vous ne verrez jamais Ludwig sans son uniforme nazi, c'est sa seconde peau, son étendard, sa patrie, son cœur. Son uniforme noir toujours impeccable est aussi sombre que son regard, ce qui lui donne en permanence un air effrayant. Il as les cheveux bruns. En tant que soldat nazi, il porte les écussons qui vont avec son grade de SS-Oberführer (=Colonel), ce qui fait de lui l'officier le plus gradé de France et celui qui commande Paris. Plus que le grade ou le charisme, il a également le physique d'un leader: sa carrure est assez imposante, et il est quelqu'un d'assez musclé. Entendez par là que sa force physique n'est pas surhumaine, mais ses coups de poing font tout de même très mal.
Caractère & Personnalitée : Ludwid est l'archétype du soldat nazi, brutal, sans pitié et cruel. Aimant à se considérer comme un être puissant, il sacrifie toute forme de relation amicale ou amoureuse au profit de la gloire et du prestige. Son nom est connu en France et se sent honoré en vue de l'influence que sa simple évocation a sur les français, et plus particulièrement les juifs. Il est tout l'inverse de quelqu'un de posé et de calme, il peut devenir le plus enragé des êtres bestiaux lorsqu'il se met à traquer un juif ou un résistant ou juste quand on le contredit. Il éprouve du respect pour ses semblables, et du dégout pour les autres...
Histoire : - Capitaine, ils sont à l'intérieur. - Je sais. - Que doit-on faire ? - Faites une ligne devant la cabane, et tirez. - Oui, mon Capitaine. La traque avait duré de longues heures. Peu après qu'un informateur français vienne le trouver pour lui donner l'endroit où se cachait deux familles juives, Ludwig avait immédiatement lancé la chasse. A sa montre il était 17h, cela faisait depuis 10h ce matin que l'officier allemand et ses hommes coursaient ces deux familles juives, qui avaient eu l'ingénieuse idée de choisir la forêt comme refuge. Mais hélas, même après sept heures de chasse, Von Oben n'abandonnerait pas. Les soldats allemands firent une ligne face à la cabane. Ils levèrent leurs mitraillettes, visèrent la petite habitation de bois, et attendirent les ordres. Lugwig s'avança aux côtés de ses soldats, l'adrénaline lui montait, il adorait ces brefs moments de calme avant la tempête. - Feu à volonté Le bois était traversé comme du papier, personne à l'intérieur ne pourrait en réchapper. Cela ne dura même pas une minute, les chargeurs furent rapidement vidés, la fumée commença à se dégager de la cabane tandis qu'un silence pesant s'installait. Les soldats allemands commencèrent à recharger leurs armes, tandis que Ludwig s'approcha de la porte, enfin de ce qu'il en restait. Il donna un coup de pied et elle éclata en morceau. Face à lui, sur le plancher, quatre corps gisaient au sol, dans une marre de sang. - Sortez immédiatement les cadavres Les soldats tirèrent les 4 corps en dehors de la cabane, et les étalèrent sur l'herbe juste devant. Ludwig se pressa de retourner dans la cabane, et regarda à nouveau autour de lui. Il se baissa et essuya de sa main gantée le sang qui tapissait le sol: un tapis. Il dégaina son Mauser C96 de sa main droite, avant de soulever le tapis de sa main gauche. Une trappe. Il la souleva de la main gauche et pointa son arme vers l'orifice nouvellement découvert. Il vit alors plusieurs personnes tentant de se cacher: un homme, deux femmes, trois filles et un garçon. - Sortez immédiatement, ou je vous fait brûler vif là dedans. Il savait parler français, mais son accent était très prononcé. Les réfugiés sortirent et posèrent leurs mains sur leur tête. - Mettez vous en ligne, à genoux. Ni une, ni deux, Von Oben pointa son Mauser vers la tête d'une des femmes, et pressa la gâchette et fis de même pour l'autre. Immédiatement, l'homme se leva pour le frapper. Ludwig se décala pour l'éviter, et le laissa retomber au sol. L'officier nazi lui décochas une balle dans le front, affichant un petit sourire narquois et sadique. - Brûlez les corps, et mettez les enfants dans le prochain train pour Płaszów - Tout de suite Capitaine L'officier n'avait pas choisi Płaszów pour rien, il y était commandant du camp. C'était la qu'il avait reçu l'honorifique surnom de "Boucher d'Hitler". Sans doute car de sa maison surplombant le camp, il s'amusait sur son balcon au déjeuner... A tirer à la lunette sur les prisonniers qui rêvassaient.
| Derrière l'Écran
Prénom : Emma Âge : è_é Comment as-tu connu le forum ? : Je l'ai fondé Ton avis : Super! Autres comptes : Charles Henderson
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« C'est quand l'ennemi est à terre qu'il est bon de la frapper. »
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